Famille, famille quand tu nous tiens… (suite)

Un peu de généalogie aujourd’hui ne nous fera pas de mal, car ce sont les Pirotes (sobriquet attribué il y a bien longtemps à Pierre Courgey ainsi qu’à ses descendants) qui sont à l’honneur aujourd’hui. Autrement écrit, les parents et grands-parents de ma cousine Régine. Dont la mamie paternelle était l’une des tantes de ma mère.
Chose assez courante à l’époque dans ma région, relativement repliée sur elle-même. Tant et si bien que Régine et moi sommes parents des deux côtés ! À des degrés divers toutefois.
En effet, la mère de Régine était la sœur aînée de mon père. Tandis que son père était cousin germain avec ma mère. Et je pourrais en citer d’autres. Drôle de casse-tête pour le généalogiste !
Nos aïeux sortaient peu et se mariaient, de préférence, au sein du monde relationnel qui était le leur. Les rencontres amoureuses se faisaient parfois dès l’école primaire. Où, à la chorale du chœur de chant, comme ce fut le cas pour les miens. Dans le voisinage ou, à défaut, au cours des mariages. Rarement dans les bals qui ne se développeront qu’après la seconde guerre mondiale.
Enfin, les rares photos de cette époque (prises pour la postérité) que toutes et tous eurent la gentillesse de me prêter, sont les plus anciennes que j’aie trouvées. "Et, on ne bouge plus" !

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