Qui bouffe du curé, en meurt !
Nous délaisserons l’actualité aujourd’hui. Non pas parce que nous en aurions fait le tour, tout au contraire. La vie continue seulement.
Revenons à la petite histoire, laquelle semble se répéter. Comme si nos dirigeants actuels ainsi que nos contemporains n’en avaient retenu aucune leçon.
Il est vrai, ainsi que le disait mon père, "qu’on ne peut servir deux maîtres à la fois". "L’argent, précisait-il, et la nécessité ajouterai-je ! Que lui-même appelait : "le bon dieu !"
Idéologiquement parlant, les miracles jalonnèrent toute mon enfance. Peut-être ne sont-ils remplacés, aujourd’hui, que par le culte de l’image, de la fiction, qu’elle soit profane ou religieuse n’y change rien.
C’est notre capacité à fantasmer notre rapport à la réalité ainsi qu’aux autres qui entre en jeu, c’est tout.
Cette activité inconsciemment introspective, au demeurant, fait que nous arrivons à n’être en rapport idéel qu’avec nous-mêmes. À ce titre, tout n’est qu’objet d’amour, de haine et tutti quanti. Amen !
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