Dieu est grand, et moi je suis toute petite (suite)

Y-a-t-il, dans la salle, un militant socialiste qui n’ait pas rêvé des exploits des révolutionnaires espagnols ? Certes non ! J’eus moi-même la chance de travailler au sein de la même usine, puis l’insigne honneur de militer, avec un camarade né au cours-même de la "fuite" désormais historique de ses parents. Lesquels, du fait de leur appartenance communiste, n’avaient d’autres choix, disons-le.
Mais l’Espagne n’est pas seulement celle de Franco, du Réal de Madrid, pour sûr. Elle est aussi la terre des Goya, Cervantès, Clarin, d’El Cordobès, celle par ailleurs où se mêlèrent bon nombre de peuples, dont les Maures.
Aujourd’hui dans le wagon de queue des pays impérialistes, l’Espagne eut un jour son heure de gloire, si je puis m’exprimer ainsi. Encore que nous ne confondions pas le peuple espagnol et ses classes dirigeantes. Les peuples Incas en savent quelque chose, n’est-ce pas ? Mais, c’est là une autre histoire.
Aujourd’hui nous poursuivons "l’aventure intérieure" commencée il y a quelques jours déjà. Alea jacta est !

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