13 décembre 2015

Orphée reviens, j’ai les mêmes à la maison !

"Orphée et Eurydice" - Pina Bausch "J'ai perdu mon Eurydice, Rien n'égale mon malheur, Sort cruel ! Quelle rigueur ! Rien n'égale mon malheur, Je succombe à ma douleur, Eurydice! Eurydice ! Réponds ! Quel supplice ! Réponds-moi, C'est ton époux, ton époux fidèle, Entends ma voix qui t'appelle, Ma voix qui t'appelle, J'ai perdu mon Eurydice, Rien n'égale mon malheur, Sort cruel ! Quelle rigueur! Rien n'égale mon malheur, Je succombe à ma douleur, Eurydice ! Eurydice ! Mortel silence ! Vaine espérance ! Quelle souffrance ! Quel... [Lire la suite]

01 août 2011

"Je t'aime, moi non plus ! "

"Le rapide de midi pour Zsolna fume déjà sous la verrière mâchurée de la gare de l'Ouest. Bálint achète une quantité de journaux pour le voyage, puis monte en voiture... Depuis des jours la nouvelle court que la funeste crise gouvernementale est sur le point de se dénouer... Cela semble signifier la remise sur les rails d'un gouvernement de coalition. Mais beaucoup de signes vont dans un autre sens... Les partisans de la banque nationale ont évincé Ferenc Kossuth et ses fidèles. Justh l'a emporté, mais les deux factions se livrent un... [Lire la suite]
09 février 2011

"Je pense, donc je suis"

Descartes Mais, comme le dira le Discours, du susnommé :"Ce n'est pas assez d'avoir l'esprit bon, le principal est de l'appliquer bien".  En ce début d’année 2010, ma correspondante continue à se chercher, sans se rapprocher de moi pour autant. En oubliant presque le sexe qui est le sien. Car la destinée qui préoccupait tant notre ami Descartes pourrait n’être que sexuée, si toutefois elle existe ! Néanmoins, aujourd’hui, on n’entend plus parler que de faire la fête. Comme si les générations actuelles découvraient... [Lire la suite]