
2e partie"J’écris pour savoir ce que je pense", disait je ne sais plus qui.Attitude qui était, à n’en pas douter, la mienne en 1999.Plus habitué que j’étais, jusqu’alors, à ne m’expliquer le particulier qu’en partant d’un point de vue général, aussi juste soit-il. Et, pourquoi le taire, relativement opposé à tout ce qui touchait à l’analyse du "moi". Quelques évènements, indépendants ou presque de ma volonté modifièrent, partiellement d’abord puis profondément ensuite, les engagements qui étaient les miens depuis...
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