24 septembre 2014

Donne-moi la main camarade, c'est une Valls !

"C'est là que réside toute la difficulté, que nos économistes ne remarquent même pas. Somme toute, les populistes raisonnent comme si le but de la production capitaliste était non pas l'accumulation, mais la consommation, ils énoncent gravement qu'une masse d'objets matériels, dépassant la capacité de consommation de l'organisme, tombe à un moment donné de son développement entre les mains d'une minorité, que l'excédent (crise de surproduction) de produits est dû au fait que l'organisme humain est limité…">> Lire encore>>... [Lire la suite]

18 septembre 2014

La sexualité, c'est la vie !

Cavalleria rusticanaTuriddu Macca, le fils de gna* Nunzia, à son retour du régiment, se pavanait chaque dimanche sur la place, avec son uniforme de bersaglier...(*Ils s'appelaient compère, commère, "gna" pour les femmes de petites conditions)>> Lire encoreLa terreLe voyageur qui longeait le lac de Lentini, s'étendant pareil à un bras de mer mort, et s'avançait parmi les chaumes calcinés de la plaine…>> Lire encoreLe maître d'écoleChaque matin, avant sept heures, on voyait passer le maître d'école qui faisait sa tournée,... [Lire la suite]
09 septembre 2014

Valérie, elle en croque c'est sûr !

"Dans la société capitaliste, le travail est la cause de toute dégénérescence intellectuelle, de toute déformation organique. Comparez le pur-sang des écuries de Rothschild, servi par une valetaille de bimanes, à la lourde brute des fermes normandes, qui laboure la terre, chariote le fumier, engrange la moisson…">> Lire encore   Lettre à un jeune amiAllons-y pêle-mêle. Si je devais critiquer quelque chose, je ne commencerais pas par les Assédic, pas plus que par la Sécurité sociale, ni les caisses de retraites. Tous ces... [Lire la suite]
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13 juillet 2014

Vive la révolution permanente !

Étatisme et Anarchie - BakounineJe déteste le communisme [autoritaire], parce qu'il est la négation de la liberté et que je ne puis concevoir rien d'humain sans liberté. Je ne suis point communiste parce que le communisme concentre et fait absorber toutes les puissances de la société dans l'État, parce qu'il aboutit nécessairement à la centralisation de la propriété entre les mains de l'État. [...] Je veux l'organisation de la société et de la propriété collective ou sociale de bas en haut, par la voie de la libre association, et non... [Lire la suite]
01 juillet 2014

Un peuple qui en opprime un autre ne peut pas être libre

      Le quart d'heure de philo des petites têtes blondes !     - "L'artiste est-il maître de son œuvre ?"    - "Vivons-nous pour être heureux ?"    - "Les œuvres éduquent-elles notre perception ?"    - "Doit-on tout faire pour être heureux ?"    - "Suffit-il d'avoir le choix pour être libre ?"    - "Pourquoi chercher à se connaître soi-même ?>> Lire encoreConsigneEt moi et moi et moi ? Est-ce qu'une question ou... [Lire la suite]
15 juin 2014

Fais du feu dans la cheminée, je reviens chez nous.

"Moi et ma cheminée, têtes grises et vieux fumeurs, nous habitons à la campagne. J'ose même dire que nous y devenons d'authentiques autochtones ; et particulièrement ma cheminée qui s'y enfonce un peu plus chaque jour. Bien que je dise toujours : "Moi et ma cheminée", comme le cardinal Wolsey avait coutume de dire : Moi et mon roi, cette égotique façon de parler où le Moi conserve la préséance sur ma cheminée est loin de correspondre à la réalité. En toutes choses, en effet, à l'exception de la phrase susdite, c'est ma cheminée qui... [Lire la suite]

25 mai 2014

Bon dieu d'bon dieu, y a plus de saison !

  Les Pommes Antonov"Je me souviens d'un beau début d'automne. En août, il était tombé de petites pluies douces, juste à point pour les semailles ; il avait plu quand il le fallait, à la mi-août, vers la Saint-Laurent. Et l'on dit bien : "Eau câline et pluie fine à la Saint-Laurent, automne et hiver cléments." Puis, à l'été de la Saint-Martin, les toiles d'araignées avaient envahi les champs. C'est bon signe aussi : "Toiles d'araignées à la Saint-Martin, automne serein." Je me souviens d'un petit matin calme et frisquet... Je... [Lire la suite]
18 mai 2014

"Laisse aller, c’est une valse."

L'OMBRE DE GABRIEL :"Elle passa en dansant à côté de lui, dans les bras d'un étranger qu'il n'avait jamais vu, et le salua d'un sourire et d'un léger mouvement de tête. Ferdinand Neumann s'inclina plus profondément que ce n'était son habitude. Elle est là, elle aussi, pensa-t-il non sans quelque étonnement ; il se sentit comme soulagé. Puisque Irène avait eu le cœur de se rendre à ce bal, en robe blanche, et de danser avec cet inconnu, quatre semaines après la mort de Gabriel, il se sentit lui-même libéré de tout remords, et ne... [Lire la suite]
28 avril 2014

Les sorcières de Noël, de pâques, de la trinité !

  LA NUIT DE NOËLLe dernier jour avant Noël était passé. La nuit, une claire nuit d'hiver, était venue. Les étoiles parurent. La lune, majestueusement, s'éleva dans le ciel pour éclairer les gens de bien et l'univers tout entier, et pour que chacun eût plaisir à chanter des noëls sous les fenêtres et à glorifier le Christ. Le froid était plus vif qu'au matin ; mais en revanche, il régnait un tel silence, que le crissement de la neige sous les bottes s'entendait à une demi-lieue. Pas une seule bande de jeunes garçons ne s'était... [Lire la suite]
19 avril 2014

Mais, où sont les neiges d'antan ?

Souvenirs d'enfance : Les lieuxTout d'abord, notre maison. Je l'aimais avec un abandon absolu. Et je l'aime encore maintenant alors que depuis douze ans elle n'est plus qu'un souvenir. Jusqu'à quelques mois avant sa destruction je dormais dans la chambre où je suis né, à quatre mètres de l'endroit où avait été placé le lit de ma Mère durant le travail de l'accouchement. Et j'étais heureux d'être sûr de mourir dans cette maison, dans cette chambre peut-être. Toutes les autres maisons (en petit nombre d'ailleurs, à part les hôtels)... [Lire la suite]